Créer des emballages à partir de déchets forestiers.

Comment une « vieille » technologie crée des plastiques qui ne portent pas atteinte à l’environnement

L’occasion

Le défi mondial des plastiques à usage unique continue de s’intensifier, avec la production de 430 millions de tonnes chaque année. À mesure que les pressions réglementaires et la demande des consommateurs de solutions durables s’intensifient, BioForm est à l’avant-garde de la transition vers un monde sans plastique. Non seulement ses matériaux biosourcés innovants réduisent les émissions de CO₂ de jusqu’à 80 % par rapport aux plastiques traditionnels, mais ils permettent également d’obtenir le rendement de ces plastiques quant à la vitesse de traitement et à la rentabilité.

Le défi

Des options durables pour remplacer les plastiques à usage unique sont nécessaires de toute urgence, mais elles sont souvent coûteuses et difficiles à produire en grande quantité. BioForm s’attaque à cet enjeu en réutilisant des machines existantes de l’industrie des pâtes et papiers pour créer des matériaux biosourcés qui reproduisent la fonctionnalité des matières plastiques. Ces nouveaux matériaux sont compostables ou recyclables avec du papier, ce qui est davantage respectueux de l’environnement. Sa technologie est conçue pour être à la fois rentable et très performante, atteignant la parité par rapport aux plastiques traditionnels. Cette approche aide à surmonter les obstacles économiques et techniques à la mise à l’échelle de solutions durables.

La solution de PNC

PNC a versé 75 000 $ à BioForm pour l’aider à embaucher une ressource clé à son équipe. Le nouveau chimiste colloïdal s’est penché sur des éléments critiques de la qualité de la surface de ses plastiques pour s’assurer que l’entreprise pourrait répondre aux exigences en matière de barrière contre l’humidité de diverses industries. Les données obtenues ont éclairé les spécifications techniques et de conception clés, aidant l’entreprise à se rapprocher des capacités de production requises pour l’industrie. Ses progrès ont suscité l’intérêt d’une société de capital de risque clé de l’industrie des pâtes et papiers, Suzano Ventures.